La meteo chez eux :
Pour savoir quel temps il va faire, c'est facile : si le goëland se gratte le gland il fera pas beau et si il se gratte le cul il fera pas beau non plus...
PROVERBES BRETONS
Bretons de terre :
- Caleçon qui gratte, morpions qui squattent
- Qui mange un oignon, rote comme un démon
- Qui pisse loin ménage ses pompes
- Caca de fête, caca qui fouette
- Pet sournois, pet de putois
- Le monde appartient a ceux dont les ouvriers se lèvent tôt Et la grande classique désormais... " Quand le goéland se gratte le gland,c'est qu'il va faire mauvais temps. quand il se gratte le cul,c'est qu'il ne fera pas beau non-plus! "
Sur les calendriers Bretons :
- Froid de novembre, range ton membre
- Quéquette en décembre, layette en septembre
- Verglas en avril, tricosteril
- Noël a la tisane, Pâques au Rabanne
- Pluie en novembre, Noël fin décembre
- Gel en février fait l'eau se solidifier
- Pingouins dans les champs, hivers méchants
- Quand le merle chante en mai, avril est fini
Bretons de mer (s'appliquent aussi aux autres races de voileux):
- Qui pisse contre le vent se rince les dents
- Quand les mouettes ont pied, il est temps de virer
- Horizon pas net, reste a la buvette
- Quand les mouettes volent bec au vent, signe de mauvais temps
- Quand on voit les iles.... C'est qu'il va pleuvoir. Quand on ne voit plus les iles.... C'est qu'il pleut
- Horizon pas net, reste à la buvette
- Brouillard dans la vallée, pêcheur fais ta marée
- Vent du nord perdu, cherche-le au sud, au nord ne sera plus
Bretons de base...(désolé mesdames)
- En Mathilda May, fais ce qu'il te plaît
- Fellation du matin, repos du vagin
- Sodomie du soir, repos des mâchoires
- 69 du midi, nettoyage des outils
- Gourdin du matin, pipi sans les mains
- Qui nique trop a les couilles en drapeau
Poeme :
LA PREMIERE FOIS
La nuit était noire
La lune était blanche
Nous étions seuls
Elle et Moi
Sa peau si douce
Ses yeux si bleus
Je savais ce qu'elle
Attendait de Moi
Je lui dis de se calmer
De ne pas se rebeller
Je fis courir ma main
Sur ses reins
Je n'y connaissais rien
Mais je fis de mon mieux
Pour placer mes doigts
Sur ses seins
Je me souviens de ma peur
De l'excitation de mon coeur
Jusqu'à ce moment béni
Où ma honte s'enfuit
Après quelques Hisse et Han
Il ne fallut pas longtemps
Pour qu'en un jet puissant
Jaillisse le liquide blanc
Enfin j'avais réussi
J'étais un homme à présent
C'était la toute première fois cet automne
Que je trayais une vache bretonne